Rendre une fille à son père

Nous avons en premier lieu été contactés par la Garnison du Ruisseau de l'Est, occupée par une incursion de loup et donc dans l'incapacité de se charger de ce qui suit. La fille du maire de leur village enlevée par des bandits, il nous incomba de la retrouver en bonne et due forme.

Nous nous sommes donc mis en marche pour le village, où nous avons rencontré le maire, nommé Heinard. Il nous décrivit sa fille comme étant une très belle femme, qui sut par le passé s'attirer les faveurs de bien des hommes et qui, pour cette raison, se vit forger une mauvaise réputation dans le village. Mais le maire écarta la piste du départ volontaire, impliquant dans l'affaire un homme qui ne cachait pas ses anciennes affiliations à la Kapital'risk et qui fréquentait Hélène. Il voulait qu'elle parte avec lui, elle ne le voulait pas.

Bien informés, nous nous prîmes la direction des Carmines, la première piste. Arrivés à la frontière, nous rencontrâmes les gardes, qui décrivirent le passage, il y a deux jours, d'un groupe de bandit se faisant passer pour des voyageurs et traînant avec eux une femme malade. Reconnus car recherchés, l'accès leur fut bloqué et deux des leurs furent capturer. Nous continuâmes alors vers le bois de la pénombre, avec comme seconde piste brasse-tourbe qui exigeait un passage par Deuillevent.

Là-bas, nous fûmes pris en embuscade par des araignées aux talents tactiques spectaculaires, mais nous les renvoyâmes héroïquement et nous continuâmes sur le chemin qui nous mena à un charnier miniature où nous trouvâmes Hélène. La fille du maire tenta de s'extraire de sa panade en tuant deux des bandits, pour se faire tuer à son tour par un troisième. Lui-même blessé, il reçut les soins nécessaires et fut téléporté avec la dépouille d'Hélène vers le Refuge des Embruns. Nous poursuivîmes ensuite vers les marécages pour une halte de quelques heures.

La mission aurait pu mieux se terminer, mais au moins, le deuil du Maire Heinard se fera correctement.