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 Rayon célèste, chevaliers et Pandarie

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AuteurMessage
Daniel Varenne
Admin
Daniel Varenne


Messages : 317
Date d'inscription : 18/04/2018

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MessageSujet: Rayon célèste, chevaliers et Pandarie   Rayon célèste, chevaliers et Pandarie EmptyJeu 24 Fév - 14:13

Citation :
Rapport du : 22/02/42
Mission : Sal'zar, chevaliers et Pandarie
Lieu : Marais des Chagrins, Terres Foudroyées, Kun'lai
Présents : Daniel Varenne, Eden d'Auroréa, Haurst Gribeauval, Mélusine Greenwood, Judith de Merillac


Ordre de mission : Enquêter sur la couleur tombée du ciel
Statut de la mission : Réussite

Rapport de mission :

À la suite d'une quête ayant mené la guilde au travers des dangers du Défilé de Deuillevent, Marchebruine s'est reposée à un bivouac de fortune érigé à la frontière de la région, et des Marais des Chagrins. C'est là que nous avons passé quelques heures à trouver un repos difficile - avec les images de le veille en guise de compagnie.

Malgré tout viendra le réveil, et la reprise du voyage. Le plan initial était simple : aller rejoindre le fort de l'Alliance à proximité, le Guet de l'Estran, et passer par le nord de Brasse-Tourbe pour pouvoir rejoindre les Carmines, et ainsi pouvoir à terme rentrer dans notre Refuge. Toutefois, le sort ne fut pas aussi favorable, car l'appel du danger et de l'aventure fit apparaître dans le ciel couvert des Marais la trainée arcanique d'un éclair pourpre, suivi d'une puissante détonation. Alors que nous étions dans l'expectative, surpris, nous avons fini par pouvoir appréhender la fragrance de ce qui brûle - et quelque chose de pourri par delà les miasmes aqueux. Il n'eut pas de véritable hésitation : Marchebruine ne saurait se détourner d'un potentiel drame, et laisser une menace courir sans avoir été confrontée.

Si le chemin fut en lui-même plutôt court, c'était une grande surprise qui nous attendait. Par delà quelques larges troncs, l'on pouvait voir un grand dôme arcanique mauve, à l'intérieur duquel s'était abrité l'une des créatures les plus étranges qu'il m'ait été donné de voir - un étherien. Le corps intangible, fait d'énergies pures, et ses bandelettes pour les contenir. À l'extérieur de ce dôme, trois chevaliers humains de grande taille, aux puissants corps couverts d'une armure d'obsidienne comme je n'en avais jamais vu. Armés de puissantes claymores, ils frappaient encore et encore le dôme pour tâcher de le briser. Légèrement en retrait se trouvait une abjecte créature démoniaque - une qui sera plus tard identifiée comme un Ur'zul. Un mélange de bien des visages d'âmes damnées, monté sur quatre pattes puissantes, avec à son tronc une gueule aux crocs cauchemardesques.

Malgré le danger évident de cette alliage de puissances dont nous ne pouvions nous expliquer la présence, Marchebruine s'est approchée. Il n'y avait pas de places pour la négociation, et la nature monstrueuse de ces adversaires se vérifiera aisément, puisque après avoir seulement repéré notre présence et un coup de semonce, le combat se lança. Il n'y eut pas de mots, pas de demandes ou de proposition de reddition - de quelque camp que ce soit.
Le combat fut d'une rudesse rarement éprouvée. Les chevaliers d'obsidiennes étaient tels qu'ils pouvaient rivaliser ou même outrepasser la puissance martiale d'Eden, posséder des réflexes plus rapides que les miens, et leur créature aurait été un enfer personnifié à vaincre si nous n'avions pas eu à nos côtés la présence de Merillac, dont les flammes sacrées surent emporter vers une destiné de cendres. Le chevalier que j'ai pu vaincre s'est, d'ailleurs, fendu d'un "Crgnes" - un râle durant lequel il semblait invoquer quelqu'un.

C'était néanmoins une victoire qui attendait Marchebruine - coûteuse. Les blessures étaient multiples, et profondes. L'éthérien abaissa toutefois son dôme pour nous rencontrer, et au cours d'une conversation qui se déplaça vers les Terres Foudroyées pour plus de sécurité, nous purent comprendre les premières bribes de cette nouvelle histoire.

Sal'zar, de son nom, appartenait à une faction qui a remis en question le pouvoir du Père des Carnages - et confirmant les premiers soupçons après le râle du chevalier d'obsidienne. Résistant à aux désirs de grandeurs de la figure mystérieuse, son groupe a été presque entièrement éliminé pour ne laisser que deux survivants, lui et son collègue. S'étant séparés pour augmenter leurs chances de survie. Nous pûmes aussi apprendre la source même de cette fuite - retrouver avant le Père des Carnages et ses forces un artefact nommé le Toucher d'Amant'thul, un objet qui pourrait détruire le monde et le précipiter vers une apocalypse. Pourquoi, comment, quels en sont les pouvoirs - pour l'heure, ces données nous restent inconnues, tout comme la véritable identité du Père des Carnages, ignorée également par Sal'zar. Identifié, pour l'heure, comme un corps sans visage couvert d'une armure complète, dont même la voix est ignorée.

S'investir dans cette quête - sans vivres, couches ou véritables renseignements - était un risque. Nous n'avions que le combat venant de se dérouler pour attester du danger, et nous n'avions que la parole de Sal'zar pour servir de guide, sans pouvoir jauger objectivement de sa fiabilité. Mais, malgré quelques protestations au début, nous finirent par tomber d'accord sur un point : il y a un risque que cette histoire soit véritable, et Marchebruine ne se détournera pas le l'urgence ou du danger, comme en incombent nos vœux.

Sal'zar nous embarqua pour une téléportation à la destination inconnue - un résultat d'une triangulation incomplète. Nous pûmes toutefois réapparaître dans un environnement montagneux, aux pics enneigés. Pourtant, tout m'était inconnu - la faune, la flore, les monts. Derrière nous s'échappait la fumée d'une cheminée - ainsi, nous avons rallié le village de Monofu, dans les montagnes de Kun'lai. Désormais en Pandarie, c'est affamés et exténués que nous avons trouvé refuge dans l'auberge de voyageurs, où Patte-Dorée - la tenancière - nous offrit quelques renseignements, un repas, et l'opportunité de trouver un vrai repos.

Semblerait-il que les yaungols (des taurens, mais similaires aux yaks, les boeufs de la Pandarie), après avoir été repoussés par les forces de la Horde, de l'Alliance, et des aventuriers de chaque faction il y a des années, sont ressortis de leur déroute et de leur torpeur pour recommencer leurs pillages et leurs rapines. La raison reste inconnue.

Pour l'heure, nous ignorons encore quelle sera notre route pour trouver ce Toucher d'Amanthul. La piste est trouble, mais si tout cela est vrai, alors le temps presse - car le sort du monde pourrait être une nouvelle fois remis en question.
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