Bouton de Veste à Rempart du Néant

Messages : 52 Date d'inscription : 11/05/2021

Citation :: Rapport du : Vingt quatrième jour du premier moi de l’An 43
Mission : Bouton de Veste à Rempart du Néant
Lieu : Rempart du Néant, Terre Foudroyées
Présents : Eden d’Auroréa, Mélusine Greenwood, Brynhildr Asran, Alcinoé Far’Ethil, Edgan Reynor

Ordre de mission : Gagner Rempart du Néant pour quérir l’aide de l’Alliance dans notre combat contre Tibérius
Statut de la mission : Réussite

Rapport de mission :
Après un périple maritime qui, cette fois, ne vaut pas d’être raconté, nous avons accosté à Surwich, petit village de pauvreté et de misère perdue dans un marais isolé au milieu d’une terre de démon, de tempête et de sable rouge. La mine se trouvant au nord de la région, nous avons rapidement pris la route et notre marche fut particulièrement monotone et difficile, le sable a tendance à s’infiltrer partout, quoi que l’on fasse. Elan qui nous accompagnait nous suggéra de nous rendre à Rempart du Néant, un peu de renfort pour affronter les sbires de Tiberius ne nous ferait pas de mal, proposition que nous acceptâmes, pour certains à contrecœur.

La garnison est un lieu de passage pour beaucoup d’aventurier et un lieu d’ennui considérable pour les soldats. Les aventuriers y font leur preuve, les soldats patientent dans une veille continuelle d’une porte vers un autre monde qui demeure close, pour notre plus grand bien à tous.

Ce sont les aventuriers qui nous interpelèrent en premier, alors que nous nous adressions à un soldat pour qu’il nous permette de rejoindre sa hiérarchie, un groupe hétéroclite nous aborda, se proposant de nous aider contre une partie du butin que nous récupérerions. La proposition de ces aventuriers fut mal reçue, nous nous battons pour le bien commun, pas pour le butin. Quel sombre butin y a-t-il a tirer d’un combat contre un être qui insulte la vie a chaque bouffée d’air volée au temps ? Après les avoir congédié avec délicatesse, mais sans succès, ce fut Eden d’Auroréa qui perdit patience et fit preuve de plus de rudesse. Juste après nous fûmes autorisé a rencontrer l’officier en charge de la garnison.

C’était un kaldorei, et un kaldorei de fait et d’action. Il se montra très sceptique au début de notre récit, puis de plus en plus alarmé par nos propos au fur et à mesure que nous lui comptions l’histoire qui nous menait jusqu’à lui. Il finit par nous autoriser à demander de l’aide auprès des soldats, tout corps de métier confondu, qui n’étaient pas en exercices, ce que nous fîmes. Nous nous sommes séparés et nous avons chacun été démarcher dans le domaine qui nous était le plus familiers.

Puissent-ils accepter de nous aider.