Liberté pour les faibles

Messages : 52 Date d'inscription : 11/05/2021

Citation :: Rapport du : Vingt quatrième jour du troisième mois de l’an quarante-trois
Mission : Liberté pour les faibles
Lieu : Mine de la Caldeira
Présents : Daniel Varenne, Mélusine Greenwood, Brynhildr Asran, Alcinoé Fal'theril, Edgan Reynor

Ordre de mission : Libérer les esclaves de la mine de la Caldeira et la détruire
Statut de la mission : En cours

Rapport de mission :
Une nouvelle victoire, arrachée à un géant de feu par quelques coups de chance et la providence. Nous verrions un nouveau jour, mais nous devions nous mettre en sécurité et nous le fîmes rejoignant notre campement dans les hauteurs de la Caldeira. J’emportais avec moi le précieux sigil nous en aurions besoin pour pouvoir infiltrer le cœur de l’industrie de la Première Flamme. Nous échafaudâmes un plan, un plan déplaisant, mais guidé par la nécessité. Nous devions nous infiltrer jusqu’à la forge en passant par les mines extérieures du complexe, puis, de là, gagner les galeries intérieures et libérer le plus d’esclave possible avant que je ne la fasse s’effondrer cet endroit sur lui-même.

Un plan d’apparence simple que nous suivîmes à la lettre. Nous approchant de la mine extérieure, l’on vit des dizaines d’hommes et de femme en haillon, traité moins bien que des chiens, briser la roche, soulever des gravats. Ceux qui faiblissaient étaient roués de coups et évacués. Il ne devait pas être mieux de mourir que de vivre dans ces conditions indigne. Puisse la Sainte, la Sainte Oubliée, Celle qui Murmurait dans les Ténèbres et toute les Divinités du monde me pardonner car j’aggravais la situation : Afin de nous créer une diversion je mis à profit la violence des Sombrefers, j’alourdissais des outils dans des mains fatigués et je provoquais la chute des hommes qui les maniaient. Les gardes n’y virent que du feu et nous pûmes mettre cela à profit. Nous glissant des chariots qui furent pousser par quelques esclaves épargnés par ma ruse, nous pénétrâmes dans les complexes intérieurs de la Caldeira. C’était une industrie de flamme, de chaleur et de sang. Partout l’on sentait peser ici toute la puissance de la Première Flamme sur des êtres désespérés, qui avaient abandonnés. Mais nous étions déterminés et silencieux nous nous laissâmes guidé par la chaleur et le bon sens, jusqu’à trouver la forge. Plusieurs forgerons y travaillaient. Ce fut un combat court mais d’une violente intensité.

Désormais, je devais m’économiser car de ma magie et de l’arcane trop faiblement présent dépendait la suite de l’opération. Puissions nous être assez zélé pour libérer tous les esclaves. Je souhaite de tout mon cœur ne pas avoir à les enterrer.