Edgan Reynor
Messages : 5 Date d'inscription : 11/12/2022
| Sujet: Liberté pour les faibles (Suite) Mer 12 Avr - 22:49 | |
| - Citation :
Rapport du : Vingt-huitième jour du troisième mois de l’an quarante-trois Mission : Liberté pour les faibles (Suite) Lieu : Mine de la Caldeira Présents : Mélusine Greenwood, Alcinoé Fal’Theril, Daniel Varenne, Brynhildr Asran et Edgan Reynor Ordre de mission : Libérer les esclaves de la mine de la Caldeira et la détruire. Statut de la mission : Réussie
Rapport de mission :
Le plan était en apparence assez simple et le but bien précis. Nous devions nous infiltrer dans la mine de la Caldeira, nous glisser au sein des galeries pour atteindre les carrières intérieures. Là, au péril de multiples efforts, nous libérerions les femmes et les hommes présents des chaînes d’oppressions naines. Puis, la mine serait détruite et ses occupants avec.
C’était le plan. Et nous l’avons suivi avec brio.
Mais ce ne fut pas de tout repos. Après les combats à l’entrée de la mine face aux opposants nains, il fallut s’enfoncer dans les boyaux. Toujours plus en profondeur afin d’atteindre les carrières internes où se trouvaient les esclaves que nous tâchions de libérer. Suivirent plusieurs combats pour se défaire de l’emprise des contremaîtres nains et pour que Léandre puisse emporter avec lui les premiers esclaves de la Caldeira. Puis en vinrent d’autres alors que nous pénétrâmes plus profondément dans les entrailles fumantes de la mine.
Dans notre stratégie, nous n’avions pas seulement prévu néanmoins de vider la mine de ses occupants. Non. Il avait également été mention d’un éboulement causé depuis l’intérieur même via la fragilisation des piliers qui cheminaient tout du long. Cette tâche, c’était la pénible mission de Mélusine. Et je sais ô combien cela lui a coûté alors que nous attenions la dernière carrière. Car à ce moment-là, lorsqu’elle entreprit de détruire cette mine, il n’y avait pas seulement la vie des nains en jeux. Il y avait également la notre ainsi que celle des esclaves laissés plus en arrière et qui n’auront pas la force ni la chance d’échapper aux éboulements. Mais de la chance, il nous en a fallût également alors que nous courrions pour rejoindre la sortie. Zig-zaguant entre les roches, aveuglés par la poussière croissante et étouffant sous la chaleur. Ce fût certainement la course la plus pénible qu’on ait connu mais fort heureusement, aucun de mes camarades ne resta sur place. Et tous parvinrent à la surface. Epuisés mais vivant.
Les esclaves de la Caldeira étaient désormais libres. Alors, après cette victoire triomphante. Nous pouvions rentrer et rejoindre Léandre et les survivants. L’humanité avait encore gagné, semble-t-il.
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